A la lecture des règles on se dit que ce n’est pas très compliqué, faut dire qu’avec cet éditeur je m’attendais à quelque chose de plus tarabiscoté. Si les règles ne sont pas trop longues, il faut cependant un peu de concentration pour bien tout intégrer car l’ordre des actions et leurs imbrications sont bien spécifiques.
Rappelons l’idée de ce jeu qui se joue à 3 (ou a 2), vous incarnez César, Crassus et Pompée dans une lutte de pouvoir autour de la Méditerranée. Il y a trois façon de gagner une partie : la victoire militaire (avoir 9 provinces), la victoire politique (être élu Consul deux fois, ou une fois + 6 citoyens), la victoire de compétence (atteindre le dernier niveau des compétences politique et militaire). Il y a trois types de province, les provinces militaires qui produisent 2 Légions, les provinces économiques qui produisent 2 Ors et les provinces dite « de compétence » qui produise une Légion et un Or. Vous agissez principalement sur votre Triumvir (le gros pion carré) qui se déplace de province en province afin d’aller y cherche l’or ou combattre. Une fois vos ressources produites et votre Triumvir déplacé, vous pouvez effectuer 3 actions (comme développer une compétence, agir sur le parlement afin de gagner la prochaine élection ou placer des pions dans le sac de bataille pour faciliter vos prochains combats) mais attention, les actions possibles seront liées au type de province où se trouve votre Triumvir.
Tout le principe est donc d’orienter son jeu vers l’une des trois conditions de victoire sachant que de toute façon les conflits sont inévitables.
Après quelques hésitations de règle qui ont ralenties les deux premiers tours, la partie c’est poursuivit de façon très fluide. En gros, voici comment les tour se sont déroulées : j’attaque Slar, il me re-attaque, ensuite Anne joue tranquillement. On c’est rendu compte trop tard de son avance. Elle a gagnée par victoire militaire haut la main.
On est vraiment des sales gosses